Deux petits amis, Angélique et Caramel vont nous permettre de découvrir les délices sucrés auxquels s’intéresse notre Association Puy Confit®.
Ils seront là, présents pour nous raconter des « histoires » : contes et légendes sucrées, pour nous apprendre des recettes, pour nous faire connaître la province où ils vivent l’Auvergne, pour nous faire voyager, bref, pour nous faire rêver.
Qui sont-ils ?
Deux enfants d’une dizaine d’années
Angélique : longue et mince déjà, comme la préadolescente fille du XXIème siècle. Ses racines sont la région clermontoise car ses parents vivaient en pleine ville, rue de Rabanesse où autrefois, en lieu et place des immeubles d’aujourd’hui, on cultivait ces ombellifères aromatiques pour la Confiserie. Et le bébé était si mignon, la petite fille si craquante qu’on la baptisa « Angélique », mais il ne faut
pas s’y fier.. Angélique n’est pas un ange, elle a de la personnalité et elle peut être coquine !
Caramel : est en tout bien tout honneur son petit compagnon, son « inséparable dans la gourmandise ». Est-il amoureux ? Le doute plane, nous le verrons. Tantôt dur, tantôt mou, (il est permis d’avoir des « saute d’humeur »), il ne faut pas s’y fier ! Pas si malléable le petit gars ! Par ses origines, il a beaucoup d’expérience, il est issu de la Diversité – comme on dit aujourd’hui –
Ses grands parents viennent de l’Orient, ses parents se sont fixés en France, et son teint toujours hâlé contraste avec la pâleur d’Angélique. Par ses origines, il a beaucoup d’expérience.
Angélique et Caramel adoptent Abricot
C’est en se promenant dans le bois des chênes, en cherchant des noisettes et des champignons, qu’Angélique et Caramel furent intrigués en trouvant au sol de curieuses empreintes, ces traces n’étaient pas celles d’un habitant des forêts, renard ou méchant loup, mais ça y ressemblait un peu.
Ils allaient oublier cela, quand un peu plus tard ils entendirent des sortes de petits gémissements ou plutôt de timides aboiements. Il leur fallut bien plus d’une demie heure pour découvrir au fond d’un fourré touffu une sorte de petit chiot tremblotant, difficile à approcher tant il avait peur ; il reculait sans cesse, mais coincé par le rocher Caramel put l’attraper. Il le serait fort dans ses bras car le petiot voulait s’échapper. Ce fut Angélique qui le calma en le caressant doucement et en murmurant de douces paroles : « Comme tu es beau, comme tu sembles gentil, nous allons te soigner et nous ne t’abandonnerons pas ». A ces mots le regard de la petite bête se fit confiant et il remua une minuscule petite queue.
« Comment allons-nous l’appeler ? » demanda Caramel. Tous les noms possibles et inimaginables furent passés en revue, du ringard Médor, à Rap qui sonnait bien, en passant par « boulou » car c’était une petite boule de poil. Quand brusquement l’un d’entre eux fit l’unanimité des deux petits amis : Abricot. Son pelage était doré, son caractère semblait doux et sucré, quel nom plus délicieux que celui de ce fruit merveilleux pouvait-on trouver ?
C’est ainsi que nous verrons parfois aux côtés d’Angélique et Caramel un petit compagnon fidèle prêt à les seconder avec succès dans leurs entreprises, car comme chacun sait pour le confiseur : l’abricot n’est-il pas un des fruits parfaits ?